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16 avril 2014 3 16 /04 /avril /2014 02:04




Carême 2014
16 avril 2014
MERCREDI Saint
Isole 50, 4-9a                           Psaume 68 (69)                        Matthieu 26, 14-25

«L'amour que j'ai pour ta maison me consume comme un feu.
J'espère un signe de sympathie, mais rien ne vient.
Je cherche quelqu'un qui me console, mais je ne trouve personne.»
(Psaume 68, 10.21)

Les récits des évangélistes au sujet de la passion et de la mort de Jésus disent l'intensité et l'immensité de l'amour de Dieu pour toute l'humanité. Dans sa première lettre, l'apôtre Jean écrit: «Voyez à quel point le Père nous a aimés! Son amour est tel que nous sommes appelés enfants de Dieu. [...] Voici com­ment Dieu a manifesté son amour pour nous: il a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous ayons la vraie vie par lui. Et l'amour consiste en ceci: ce n'est pas nous qui avons aimé Dieu, mais c'est lui qui nous a aimés; il a envoyé son Fils qui s'est offert en sacrifice pour le pardon de nos péchés. Mes chers amis, si c'est ainsi que Dieu nous a aimés, nous devons, nous aussi, nous aimer les uns les autres.» (3, 1; 4, 9-11) Voilà résumée l'expression de l'amour divin.

La description que fait le même Jean du coup de lance donné à Jésus par les soldats au Golgotha proclame que Jésus a versé jusqu'à la dernière goutte de sang pour nous: «Un des soldats lui perça le côté avec sa lance, et du sang et de l'eau en sortirent aussitôt L'homme qui témoigne de ces faits les a vus, et son témoignage est vrai; il sait, lui, qu'il dit la vérité. Il en témoigne afin que vous aussi vous croyiez.» (Jean 19, 34-35) Quel autre signe pourrions-nous demander pour nous convaincre de l'amour de Dieu manifesté en Jésus?

Nous t'adorons Jésus et nous te bénissons, cor tu as rachetéle monde par ta sainte croix.


 

 


 


 

CARÊME 2014
Enracinés dans la Parole, page 44

 
Mgr François Thibodeau
Carnet pour la réflexion et la prière quotidiennes

 
VIE liturgique






 Retr@ite Carême 2014

 
 -  Pratiquer la petite voie de Thérèse de l’Enfant Jésus


Semaine Sainte

 - La souffrance transfigurée :

 Toutes nos souffrances

ne peuvent être transfigurées

que par l’Amour qui nous porte et nous sauve !

 


1. Méditation des récits de la Passion :

Jésus ouvert aux autres jusqu’à la fin

Pour accompagner notre rencontre de Jésus alors qu’il expérimente sa Passion et la mort,

 nous voudrions écouter ses dernières paroles, celles qu’il a prononcées sur la Croix.

Ce qui est le plus éclatant, c’est qu’elles ne sont que des paroles d’ouverture,

 qui ouvrent des relations avec les autres :

 son Père par trois fois, le bon larron, sa mère, le disciple bien-aimé … nous-mêmes ?

 

Elles nous révèlent chacune à leur manière quelque chose de Jésus et nous proposent un chemin.


3. Prier chaque jour de la semaine sainte avec Thérèse :


Mercredi 16 avril

« …Marie…Refuge des pécheurs, c’est à toi qu’Il nous laisse

Quand Il quitte la Croix pour nous attendre au Ciel. »

PN 54, 22
 
« ‘Femme, voici ton fils’. ‘Voici ta mère’.

 Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui. »

Jn 19, 26-27
FEU ET LUMIERE
 la messe du dimanche 13 avril 2014
 Dimanche des Rameaux et de la Passion
 « Vraiment, celui-ci était le Fils de Dieu ! »
 Livre d’Isaïe 50, 4-7 :
Dimanche des Rameaux et de la Passion
« Vraiment, celui-ci était le Fils de Dieu ! »
 
Livre d’Isaïe 50, 4-7 : « La parole me réveille chaque matin, chaque matin elle m’éveille. »
Lettre de saint Paul aux Philippiens 2, 6-11 : « Il se dépouilla lui-même en prenant la condition de serviteur. »
Évangile selon saint Matthieu 26, 14-27.66 : « Le soir venu, Jésus se trouvait à table avec les douze. »
 
passion.jpgF&L - Sr Marie de la Visitation

Méditation de l’Évangile :

 
« Puis-je vous proposer un petit exercice spirituel pour la Semaine Sainte que nous commençons aujourd’hui ? Pour réveiller en vous le « Notre Père » et renouveler votre manière de le prier, attribuez à chaque jour une phrase de cette prière.
 
Aujourd’hui donc, pour les Rameaux, la première : « Notre Père, qui es aux cieux. » Tout va se dérouler sous la miséricorde et la bénédiction de Dieu. 
 
Demain, Lundi Saint, l’Évangile nous invitera à regarder cette femme, avec ses cheveux, avec son flacon d’albâtre et ce parfum qu’elle verse sur les pieds de Jésus. Toute silencieuse et remplie d’amour, elle incarne bien la deuxième phrase : « Que ton nom soit sanctifié. » Ce geste chante la louange et la sainteté du Nom de Dieu. 
 
Après, seconde demande : « Que ton Règne vienne. » Ce jour-là, le Mardi Saint, l’Évangile nous présente Judas et Pierre. Ils avaient été choisis pour faire avancer son Royaume, mais ils ont plutôt fait le contraire. Et moi, comment je fais avancer le Règne de Dieu sur la terre, comme au ciel ?
 
Dans l’évangile du Mercredi Saint, les disciples demandent à Jésus : « Où veux-tu que nous fassions les préparatifs ? » C’est la troisième phrase : « Que ta volonté soit faite. » Je voudrais tellement faire Ta volonté… Pourtant, parfois, quand je dis « Ta volonté », je pense plutôt à la mienne ! Ah, si tu pouvais me convertir et m’aider à mener le même combat spirituel que Jésus : « Non pas ce que je veux, mais comme Toi tu le veux. » (Mc 14, 36)

1.39.
Disposez votre esprit à accueillir la lumière
 
Catéchèse du mercredi 4 avril 1944 (mercredi-saint)
146> Marie dit :        
 "À qui reconnaît sa faute et s'en repent et s'accuse humblement d'un cœur sincère, Dieu pardonne. Il ne pardonne pas seulement : Il récompense. Oh ! mon Seigneur, comme Il est bon envers qui est humble et sincère ! Envers celui qui croit en Lui et se fie à Lui ! Désencombrez votre esprit de tout ce qui l'encombre et le rend inerte. Disposez-le à accueillir la Lumière. Comme un phare dans les ténèbres, Elle vous est un guide et un saint réconfort.     
 Amitié avec Dieu, béatitude de ceux qui lui sont fidèles, richesse que rien n'égale, qui te possède n'est jamais seul et ne ressent pas l'amertume de le désespoir.
Tu ne supprime pas la douleur, ô sainte amitié, car la douleur a été le destin d'un Dieu incarné et elle peut être le destin de l'homme. Mais tu rends cette douleur douce en son amertume, tu y mélanges une clarté et une caresse qui, comme une touche céleste, soulèvent la croix.
 Et, quand la Bonté Divine vous donne une grâce, usez du bienfait reçu pour rendre gloire à Dieu. Ne soyez pas des fous qui, d'un objet utile se font une arme nuisible ou comme des prodigues qui transforment leur richesse en misère.       
 C'est trop le douleur que vous me donnez, ô fils, derrière le visage de qui je vois apparaître l'Ennemi, celui qui se rue contre mon Jésus. Trop de douleur ! Je voudrais être pour tous la Source de la Grâce. Mais trop d'entre vous ne veulent pas de la Grâce. Vous demandez "grâces" mais avec une âme qui ne possède pas la Grâce. Et comment la Grâce peut-elle vous secourir si vous en êtes les ennemis ?
Il me semble presque inutile de continuer à écrire après avoir tout dit [1]. Mais vous [2] m’exhortez à écrire les choses qui me frappent le plus et j’obéis.  
C’est le soir du Jeudi Saint [3]. En parlant de Jésus, je ne détourne pas mon attention de lui, mais au contraire, je me concentre sur lui. Je vous dirai donc comment j’ai passé ces dernières vingt-quatre heures. Hier soir, vous m’avez vue épuisée. J’étais vraiment épuisée. Mais quand je suis au bout de toute résistance humaine et que je donne l’impression, à quiconque me voit, de n’être plus qu’une pauvre créature incapable même de penser, c’est justement à ce moment-là que j’ai, pour ainsi dire, des illuminations. 
Hier soir; j’avais lu le journal; et puis, lasse même de ça, j’avais fermé les yeux et je restais là... inerte. Tout à coup, j’ai vu, mentalement, un terrain très pierreux et aride. Cela ressemblait au sommet d’un monticule comme on en voit tant dans nos collines. Dénué de toute végétation, riche seulement en pierres et silex brutes blanchâtres, il était entouré d’un vaste horizon. Tout au sommet avait poussé un plant de violettes, la seule chose vivante au milieu d’une telle désolation. Je voyais distinctement la touffe épaisse de feuilles rapprochées les unes des autres, comme pour mieux résister aux vents qui battaient la cime. Quelques bourgeons de violette, plus ou moins ouverts, montraient leur petite tête au-dessus de la touffe verte. Mais une seule violette était complètement éclose, belle, d’une couleur vive, corolle ouverte tendue vers le ciel.    
10>
 Ce fut de la voir si droite, comme si elle était attirée par une force singulière, qui fixa mon attention et me fit chercher du regard. Et je vis une planche, une grosse planche enfoncée dans le sol. On aurait dit un tronc grossièrement raboté, encore rugueux. À un mètre et demi du sol, peut-être moins, je vis deux pieds transpercés... je ne vis que cela hier soir. Deux pieds torturés. Et qu’ils fussent âprement torturés se devinait à la contraction des orteils qui se repliaient presque jusqu’à la plante des pieds comme en un spasme tétanique. 
 Du sang, qui coulait le long des talons, tombait sur la planche rugueuse et la sillonnait jusqu’au sol. D’autre gouttes tombaient des orteils contractés et ruisselaient sur la touffe de violettes. C’est donc vers cela que se tournait la violette, toute tendue vers le ciel ! Vers ce sang qui la nourrissait, tout comme il nourrissait cette touffe unique de verdure qui avait su, en cette terre stérile, pousser contre ce bois.
 Cette vision m’a dit beaucoup de choses... Et quand vous êtes venu, j’étais en train de voir ce signe qui était mon sermon du Mercredi Saint. Cette scène ne s’est pas évanouie. Elles ne s’évanouissent pas facilement. Elles restent clairement gravées dans le cerveau, même si les choses habituelles reprennent, ou tentent de reprendre, le dessus.    
 Et puis ce matin, avant que vous n'arriviez, j’ai entrevu le reste du corps. Je dis bien, entrevu, parce qu’il apparaissait et disparaissait comme dans l’ondoiement de voiles de brouillard. D’autres fois, l’image en était beaucoup plus nette... mais, alors, il me semblait mort. Maintenant, il me paraît vivant. Et je pense que c’est une grande pitié de la part de Jésus de ne pas me montrer son visage. Jésus est tellement affligé, la tristesse que lui cause l’iniquité humaine — qui ne faiblit jamais mais, bien au contraire, ne cesse de grandir — a atteint une telle intensité que nous ne pourrions supporter; sans en mourir de douleur; l’expression de son divin visage.      
Jésus, mon Maître, de sa parole muette, me dit que ma place est plus que jamais au pied de la croix. Je dois tirer ma vie uniquement de son Sang... et mon seul devoir est d’être l’encens au pied de son trône de Rédempteur. L’encens dont le parfum recouvre l’odeur nauséabonde du péché, de la méchanceté, de la barbarie qui émane de la terre. L’encens n’exhale son parfum qu’en brûlant et en se consumant. Et c’est ce que je dois faire.
La vision me dit aussi que la fleur peut attirer d’autres regards à la croix, peut amener d’autres créatures à s’incliner sous la pluie de son sang. C’est là la tâche de la fleur envers Dieu et son prochain. Réparation d’amour envers Jésus et attraction à Jésus de beaucoup de cœurs, en acceptant de vivre à cette fin dans un désert aride, seule avec la croix.     
11> Je pourrais dire que je suis restée les lèvres pressées contre ces pieds transpercés comme si je buvais à une source qui est à la fois fraîcheur et ardeur. Une sensation spirituelle, mais si vive qu’elle semble réelle...
+ lundi 02 avril 2007

 
Bonjour à toutes et à tous,
Pour vous accompagner dans votre pélérinage intérieur,
 voici les différentes étapes de la Semaine Sainte :
dimanche des Rameaux : Jésus est acclamé par la foule enthousiaste
lundi saint : la parabole des vignerons homicides
mardi saint : Le figuier desséché
Le P. G.M. Allegra, bibliste renommé, fut un lecteur de l'œuvre de Maria Valtorta dès 1961, époque où l'œuvre était encore officiellement à l'Index. Il découvre toute la profondeur du texte inspiré à Maria Valtorta et confie sa démarche à divers correspondants. Puis, à partir de 1968, il note ses découvertes dans un "Journal" (première partie de cette page) qui sera ultérieurement mis en forme dans le but d'être édité. Cette "Critique" (deuxième partie de cette page) ne sera publiée qu'après sa mort, à l'occasion de l'ouverture de sa cause de béatification. Celle-ci a abouti le 29 septembre 2012. Elle a été prononcée par Benoît XVI en Sicile

 Nous employons indifféremment Le Poème de l’Homme-Dieu ou l'Évangile tel qu'il m'a été révélé pour désigner l'œuvre de Maria Valtorta, mais le Père Allegra n'utilise que le premier, seul titre qu'il ait connu.
Extraits du journal du Vénérable G. Allegra
Mardi et Mercredi Saints, 9-10 avril 1968, Macao    
Le Poème de l’Homme-Dieu de Maria Valtorta a été publié en tant que roman, et j’espère qu’avec pareil titre il continuera d’être réimprimé dans le futur, et souvent ; mais ce n’est pas un roman. C’est le complément des quatre traditions évangéliques, et leur explication.          
 Cette explication nous surprend parfois, elle nous semble tellement nouvelle, tellement vraie et énergique, que nous sommes prêts à la négliger. Il s’agit de révélations privées ! Et puis, faites à une femme ! Et nous autres, les hommes, les prêtres, savons bien en cela imiter les Apôtres qui appelèrent délire de petites femmes la vision que celles-ci eurent du Christ ressuscité. Certes St Paul, dans la liste qu’il donne des témoins de la Résurrection, exclut les femmes ; mais les Évangiles, au contraire, leur donnent une part prépondérante. Et pourtant tous les prêtres veulent imiter St Paul sur ce point !  
 De fait, le Poème de l’Homme-Dieu [1] ne mérite pas vraiment d’être négligé avec cette assurance et cette suffisance qui est la caractéristique de nombreux théologiens modernes. Dans l’Église se trouve l’Esprit, et dès lors, se trouvent les charismes de l’Esprit. Je pense que c’est seulement avec un charisme de l’Esprit Saint - seulement avec son aide - qu’une pauvre femme malade, d’une culture biblique limitée, a pu écrire, en l’espace de trois années, 20 000 pages qui, une fois imprimées, équivalent à 10 volumes. Et quelles pages ! Et je note aussi que certains des discours du Seigneur - dont les principaux sujets sont tout juste évoqués dans les Évangiles - sont développés dans cette œuvre avec un naturel, avec un fil de pensée si logique, si spontané, si intrinsèquement lié au temps, au lieu, aux circonstances, que je n’ai pas trouvés chez les exégètes les plus célèbres.   
 Je ne citerai que le discours du Seigneur avec Nicodème et celui du Pain de Vie. Mais les exégètes, formés à la "Méthode de l’Histoire des formes" [2] ne s’humilieront jamais ( !) à jeter un œil à cette œuvre où de nombreux problèmes sont résolus avec une facilité merveilleuse, et où tant de discours, dont nous n’avions malheureusement que le thème, sont retrouvés.   
 En somme, je retiens que cette œuvre de M. Valtorta mérite au moins cette attention que les théologiens ont accordée à la "Cité Mystique de Dieu" de la Vénérable Maria de Ágreda, aux révélations de la Vénérable Anne-Catherine Emmerich, et à celles de Ste Brigitte.      
 Personne ne pourra me faire croire qu’une pauvre infirme, seulement en vertu de son fervent sentiment religieux, a écrit le Poème, d’autant plus qu’elle ne vit pas les diverses images ou scènes de la vie du Seigneur dans l’ordre chronologique, mais bien au contraire, elles lui ont été présentées dans une succession imprévisible en l’espace de trois ans.   
 Que fut ce charisme ? Quelles en furent les dimensions ? Comment l’instrument humain coopéra-t-il avec lui ? Qu’est-ce qui provient de l’Esprit à travers la pensée et le cœur d’une pieuse chrétienne, et qu’est-ce qui est le fruit exclusif de la psyché de M. Valtorta ? Et avec l’hypothèse de visions surnaturelles, pourquoi Jésus a-t-il adopté le langage de la théologie du XXème siècle et pas celui de son propre temps ? Peut-être a-t-il voulu nous enseigner ce qu’on peut trouver dans les Saintes Écritures, et comment elles doivent être exprimées aujourd’hui ? Il y a tant de questions qui méritent d’être étudiées et méditées avant d’exposer raisonnablement comment le Poème de l’Homme-Dieu ne contredit jamais l’Évangile, mais le complète admirablement, le rendant vivant et puissant, tendre et exigeant.    
 Une fois bien déterminée la nature du charisme de l’Esprit et la réalité de son action en Maria Valtorta, quelle attitude le chrétien doit-il adopter en lisant ces admirables pages évangéliques ?         
 Il me semble que la même conclusion pratique s’impose à quiconque a lu et étudié les documents de l’Histoire des Apparitions de Paray-le-Monial [3], Lourdes, Fatima, Syracuse [4]…        
Et avec le même degré de foi, et dans la mesure où le Seigneur Jésus et l’Église le désirent, j’y crois. 
http://www.maria-valtorta.org/Carlos/44.pdf
[PDF]
Page 1 Mercredi Saint La préparation de la Passion DDD ...
www.maria-valtorta.org/Carlos/44.pdf‎
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Page 1. Mercredi Saint. La préparation de la Passion. DDD. Jesús. Jesús e Marie Illlll. Miracle.

Les souffrances de Marie, lorsqu'elle perdit Jésus
Les souffrances de Marie, lorsqu'elle perdit Jésus durant trois jours, dépassèrent non seulement le pouvoir, mais les droits du silence. Elles entraînèrent la nature de Marie jusqu'aux dernières limites de sa faculté de souffrir(…). Elles la forcèrent à faire ce qui était proportionné à leur violence, c'est-à-dire à chercher le dernier refuge de la créature en ouvrant entièrement son cœur au Créateur.
 La perfection de Notre-Seigneur, dans sa nature humaine, atteignit à son plus haut point dans une parole. Son silence était, sans doute, une adorable perfection, mais il y avait encore plus de sublimité dans ce cri qui s'échappa de ses lèvres : Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'avez-vous abandonné ? C'est alors que sa Passion atteignit aux dernières limites de son humanité.
 C'est ainsi que notre Mère bien-aimée eut sa passion à la fin de l'enfance de Jésus, et sa compassion en même temps que la Passion de Notre-Seigneur(…).

Frederic William Faber (1814-1863)
www.spiritualite-chretienne.com
Partageons pour faire connaître et aimer davantage la Vierge Marie 
 Une Minute avec Marie
Clin d'Œil de l'Esprit !
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Pour cette Semaine Sainte, nous vous proposons en guise de Clin d'oeil cette belle prière de Mère Teresa... et vous nous enverrez, chers abonnés, les Clins d'oeil que cette prière aura fait germer dans votre vie ! Ils seront publiés dans cette lettre... car Dieu est vivant, présent et agissant dans nos vies ! Hosanna !
Seigneur, ouvre mon coeur, mes mains, mes yeux !
 puits3.jpgF&L - Catherine Deher
 
« Seigneur, quand je suis affamé,
donne-moi quelqu’un qui ait besoin de nourriture.
Quand j’ai soif,
envoie-moi quelqu’un qui ait besoin d’eau
 
Quand j’ai froid,
envoie-moi quelqu’un à réchauffer.
Quand je suis blessé,
donne-moi quelqu’un à consoler.
 
Quand ma croix devient lourde,
donne-moi la croix d’un autre à partager.
Quand je suis pauvre,
conduis-moi à quelqu’un dans le besoin.
 
Quand je n’ai pas de temps,
donne-moi quelqu’un que je puisse aider un instant.
Quand je suis humilié,
donne-moi quelqu’un dont j’aurai à faire l’éloge.
 
Quand je suis découragé,
envoie-moi quelqu’un à encourager.
Quand j’ai besoin de la compréhension des autres,
donne-moi quelqu’un qui ait besoin de la mienne.
 
Quand j’ai besoin qu’on prenne soin de moi,
envoie-moi quelqu’un dont j’aurai à prendre soin.
Quand je ne pense qu’à moi,
tourne mes pensées vers autrui."
 
 
Bienheureuse Mère Teresa (1910-1997)
 

S'arrêter,
prendre le temps
 
http://www.caremedanslaville.org/
le 16 avril 2014
Frère Jocelyn Dorvault
Le frère Jocelyn, entré chez les Dominicains en 1998, est actuellement prieur du couvent du Caire. Il a été aumônier d’hôpital à Clermont-Ferrand et est le responsable de la revue Amitiés Dominicaines.
Où donc est Dieu ? Il est dans ta parole.
 En cette heure-là, Jésus dit aux foules : « Comme pour un hors-la-loi vous êtes partis avec des épées et des bâtons,
 pour vous saisir de moi ! Chaque jour j'étais dans le temple assis à enseigner, et vous ne m'avez pas arrêté. Mais tout cela est arrivé pour que s'accomplissent les écrits des prophètes. »
Alors les disciples l'abandonnèrent tous et prirent la fuite...

 
Temps de prière
16 avril 2014
  http://www.caremedanslaville.org/prier
 Ouverture
Hymne
Antienne
Psaume
Antienne
Psaume
Antienne
Cantique du Nouveau Testament
Lecture
Magnificat
Prière d'intercession
Notre Père
Oraison et bénédiction
Conclusion
Chant à Marie

 

 

 

Temps de prière

 

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