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Tempete de neige a Montreal
Envoyée par : Serge Richard // 2 février 2011
Montréal, Québec // Prise : 2 février 2011
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le geai et la neige
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Terrebonne, Québec // Prise : 2 février 2011
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20 Cm de neige .... (en 30 minutes lol)
Envoyée par : stevelace // 6 février 2011
Iberville, Québec // Prise : 5 février 2011
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Il neigait très fort ce soir. tellement que la visibilité était presque nulle dans la cour !
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feu d'artifice et neige abondante
Envoyée par : brunop // 5 février 2011
Magog, Québec // Prise : 5 février 2011
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voici un petit video du feu d'artifice de la fête des neiges à magog avec une neige abondante
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un site à découvrir
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un site à découvrir
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Saison 1
Épisode 1 Pauvreté 101
Deux volontaires s’apprêtent à tout quitter pendant deux mois pour vivre l’expérience de la pauvreté. Sans rien d’autre qu’un sac à dos et un chèque d’aide sociale de 592,08 $ en poche, ils appréhendent un avenir incertain en milieu inconnu. Ils doivent s’organiser rapidement alors qu’ils sont parachutés à Montréal, coupés de leur passé.
Selon les Nations unies, le Canada figure au 4e rang mondial pour sa qualité de vie. Pourtant, on y recense plus de 3 millions de personnes vivant en situation de pauvreté. Mais, être pauvre, ça signifie quoi, au juste?
C’est ce que deux volontaires vont découvrir. Ils s’apprêtent à tout quitter pendant deux mois pour vivre l’expérience de la pauvreté. Sans rien d’autre qu’un sac à dos et un chèque d’aide sociale de 592,08 $ en poche, ils appréhendent un avenir incertain en milieu inconnu. Pierre Côté, 53 ans, un consultant en marketing de Québec, et Emmanuelle Chapados, 27 ans, une diplômée en communications de Moncton, doivent s’organiser rapidement alors qu’ils sont parachutés dans Montréal, coupés de leur passé.
À leur arrivée dans la métropole, on comprend rapidement que le montant d’aide sociale constitue un filet de sécurité bien mince pour assurer les besoins de base tels que se loger, se nourrir et autres. D’éminents chercheurs qui ont collaboré à l’établissement de nouveaux indicateurs économiques pour mesurer la pauvreté et l’exclusion sociale le confirment. Le montant de faible revenu établi par les gouvernements équivaut presque toujours au double de la prestation d’aide sociale consentie à une personne seule!
Urbain Desbois, le narrateur invité, nous guide dans ce premier épisode qui pose les jalons de la pauvreté. Auteur-compositeur-interprète ayant lui-même connu des années de vaches maigres, il a aussi eu recours à l’aide sociale.
Pendant que Pierre et Emmanuelle cherchent à se loger chacun de son côté, on prend conscience de la signification de la pauvreté et de ses conséquences sur les êtres qui la subissent. Nos deux volontaires ont maintenant rejoint les rangs des naufragés des villes pour deux mois.
Deux mois qui pourraient s’avérer bien longs et parsemés d’embûches…
D’abord multi-instrumentiste, Urbain Desbois a collaboré avec de nombreux artistes de la scène musicale québécoise depuis les années 80. Au fil de ses années de tournées canadiennes, européennes et américaines est né en lui le désir de composer et d'écrire des chansons de son cru.
À 30 ans, il passe donc derrière le micro et saisit le stylo pour écrire ses propres chansons, de « petites pensées et proverbes pour orchestres », dit-il. Le style d'Urbain Desbois est né. Personnage singulier, poète autant qu’auteur-compositeur-interprète, il accouche de quatre albums aux titres évocateurs : Ma maison travaille plus que moi, États d'âne, Entomologie et La gravité me pèse. Des albums truffés d’une poésie subtile qui surfe sur le double sens, la rime et les mots inventés.
Ayant lui-même tâté de l’aide sociale aux débuts de sa vie d’artiste, il met au cœur de son œuvre le thème de la pauvreté et de la petite vie ordinaire. Ce n’est pas un hasard si nous devons à Urbain Desbois la chanson qui clôt chacun des épisodes de Naufragés des villes : Survicissitude.
http://naufrages.radio-canada.ca/emissions_narrateur.aspx?id=1
Saison 1
Épisode 2 : L'itinéranceEmmanuelle est toujours itinérante. Elle se résout à dormir dans un refuge pour femmes. Pierre, lui, apprécie ses nouveaux colocataires, même si l’appartement n’est pas très propre. Avec l’un d’eux, il visite une banque alimentaire. Chaque dollar compte.
L’itinérance est un phénomène qui dérange et qu’on voudrait cacher. Le cliché évoque instantanément le vieux clochard ivrogne. Mais, la réalité est différente. L’itinérance révèle bien d’autres visages…
Nos deux volontaires sont immergés dans leur nouvelle réalité. Emmanuelle est toujours itinérante. Après plusieurs appels infructueux pour trouver un logement qui cadre dans son budget, elle se résout à dormir dans un refuge pour femmes. Quant à Pierre, il apprécie ses nouveaux colocataires, même si l’appartement n’est pas très propre. Avec l’un d’eux, il part chercher de la nourriture dans une banque alimentaire. Chaque dollar compte.
Partout autour d’eux, l’itinérance saute aux yeux. Le phénomène ne touche pas que les hommes. Il rejoint autant les femmes et les jeunes. Certains arrivent à s’en sortir. Mais c’est rare, surtout quand la toxicomanie, l’alcoolisme ou les problèmes de santé mentale s’en mêlent. À trimballer sans cesse son gros sac partout, Emmanuelle se sent itinérante. Elle a peine à imaginer que c’est le lot quotidien de certaines personnes depuis des années.
Pour ce voyage dans les derniers repaires de l’humanité, France Castel est une guide de choix. Elle avoue s’être rendue au bord de l’abîme. Par chance, à travers toute la misère, on retrouve aussi des organismes et des initiatives qui allègent un peu la souffrance. Le meilleur et le pire qui se côtoient pour adoucir la fatalité.
Au refuge pour femmes, Emmanuelle est bouleversée par sa rencontre avec une femme battue. Seul rayon de soleil, la générosité des gens, tant des intervenantes que des femmes de passage. Pierre, lui, vit une autre réalité. Il n’a plus de problèmes de logement. Il prépare le souper pour tout le monde, un soir de hockey. Pour un instant, c’est la détente. Mais, avec 172 $ pour boucler les trois dernières semaines du mois, ses soucis reviendront vite…
Pour sa profonde humanité et son intégrité personnelle en rapport à ses réussites, et surtout face à ses échecs personnels, France Castel était la guide tout indiquée pour nous faire vivre l’itinérance, cet ultime état humain.
Comédienne, actrice, chanteuse et animatrice, France Castel rayonne. Chacune de ses apparitions publiques révèlent une femme attachante, chaleureuse et intense. Parfois, aussi, une femme sensible, fragile même, et d’une grande écoute pour les autres.
Mais, derrière ses grands éclats de rire et sa joie de vivre communicatifs, France Castel n’a pas toujours eu la vie facile. Loin de là. Elle a connu sa part d’expérience humaine sombre, marquée de difficultés personnelles et de dépendances qui l’ont conduite au bord du gouffre. Nulle autre qu’elle ne pouvait nous faire cheminer sur le thème de l’itinérance avec plus d’à-propos et autant de compassion.
Car, avant d’errer dans les rues, c’est souvent à l’intérieur de soi que l’errance débute…
http://naufrages.radio-canada.ca/emissions_narrateur.aspx?id=2
Saison 1
Le désordre et le mode de vie marginal de ses colocs ne sont pas de tout repos pour un quinquagénaire comme Pierre. Il lui faut rapidement trouver du travail. De son côté, Emmanuelle déniche enfin un appartement. Après avoir payé le loyer, il lui reste moins de 100 dollars pour survivre jusqu’à la fin du mois.
Le logement est un besoin de base. Pourtant, au Canada, beaucoup de gens vivent, soit dans la rue, soit dans des logements insalubres, ou encore ils payent beaucoup trop cher et doivent amputer leur budget consacré aux autres besoins essentiels.
Nous ne devrions pas consacrer plus de 30 % de nos revenus au logement. Alors, lorsqu’on vit de l’aide sociale ou qu’on touche un salaire dérisoire, impossible de ne pas excéder ce ratio sans devoir couper ailleurs! À travers la réalité d’Adrienne, puis de Gaëtan, nous verrons qu’avoir un simple toit est un privilège coûteux pour les plus défavorisés.
Puis, un détour par Vancouver nous dévoile comment, sous la poussée des bulldozers, les gens les plus pauvres sont sans cesse repoussés vers l’est de la ville. Depuis Expo 86 et les Jeux olympiques de 2010, le phénomène s’est intensifié. Le Downtown Eastside, la zone urbaine des plus démunies, survit péniblement au boom de la construction.
Florent Vollant, notre narrateur, connaît bien le problème du logement, puisqu’il sévit aussi dans sa communauté de Maliotenam, sur la Côte-Nord. L’auteur-compositeur-interprète montagnais nous entraîne dans ses réflexions liées à la pauvreté et nous fait partager des souvenirs personnels.
Enfin, dans l’arrondissement montréalais de Parc-Extension, un quartier qui compte une forte proportion d’immigrants, on découvre que certains propriétaires sans scrupules n’hésitent pas à exploiter l’ignorance des nouveaux arrivants. Ils leur louent des logements insalubres et font la pluie et le beau temps en presque totale impunité.
Quant à nos deux volontaires, Pierre et Emmanuelle, ils sont tous deux frappés par la réalité du logement. Déjà à court de fonds, Pierre doit absolument trouver un emploi. De son côté, Emmanuelle trouve enfin un logement en sous-location. Mais, avec une marge de manœuvre financière aussi faible, chaque dépense superflue pourrait bien s’avérer fatale.
L’auteur-compositeur-interprète a grandi dans la réserve de Maliotenam, près de Sept-Îles. Et, même s’il a connu le succès international, même s’il a travaillé et collaboré avec les plus grands noms de la chanson québécoise, Florent Vollant est toujours resté très attaché à ses racines et à sa communauté. Il a d’ailleurs ouvert à Maliotenam un studio d’enregistrement où les jeunes musiciens autochtones reçoivent de la formation, en plus de plonger dans la création.
Florent Vollant est un nomade dans l’âme. Lui céder le micro pour parler de problèmes de logement tombait sous le sens. De plus, afin d’enrichir l’expérience, il a accepté d’évoquer pour nous la vie dans les réserves autochtones, où un problème de logement criant entraîne des conséquences désastreuses.
http://naufrages.radio-canada.ca/emissions_narrateur.aspx?id=3
En 2005, 14 millions de Canadiens ont gagné moins de 20 000 $. Ils représentent ce qu’on appelle des « travailleurs pauvres », des gens qui travaillent sans nécessairement arriver à joindre les deux bouts.
Pierre et Emmanuelle se trouvent temporairement dans cette situation. Au mieux, ils espèrent travailler au salaire minimum. Mais, après une deuxième entrevue dans une chaîne de restauration rapide et un test psychologique sur Internet, Pierre est toujours sans emploi. Quant à Emmanuelle, elle investit 20 $ dans un vieux vélo. Une folie qui lui procurera cependant plus de mobilité dans sa recherche de travail.
La narration de cet épisode est assumée par l’auteur-compositeur-interprète Richard Séguin, qui a chanté Journée d’Amérique, une ode aux petits travailleurs, en écho à son milieu d’origine. Il nous guide dans notre voyage au cœur des petits boulots où chômeurs, travailleurs autonomes, employés à temps partiel ou temporaires sont tous synonymes de faible revenu et de précarité. Une situation bien plus répandue qu’on le croit et qui laisse entrevoir une cohorte de retraités pauvres dans un avenir pas si lointain.
Alors, comment faire pour s’en sortir? Comme Emmanuelle qui cherche des endroits où obtenir des bons d’achat de nourriture? Ou comme Pierre, qui se trouve du travail au noir en catimini? Nous ne pouvons endosser son choix. Mais force est de constater qu’en situation de survie, l’éthique est un luxe de riches.
Enfin, avec 50 $ en poche, Emmanuelle n’a plus le choix. Elle fait appel à une agence de placement qui lui déniche un travail d’emballage dans une usine. À 10 $ de l’heure en dessous de la table, Pierre, lui, a gagné un salaire de 325 $. Il affiche le sourire d’un gars soulagé, qui a enfin trouvé le moyen de s’en sortir. Mais, ce qu’il ne sait pas encore, c’est qu’il ne pourra bénéficier de cet argent-là dans le cadre de l’expérience...
« Quand t'as perdu confiance en toi, c'est pas évident de convaincre un employeur. »
Richard Séguin est né en mars 1952, à Pointe-aux-Trembles, un quartier modeste de l’est de Montréal. Malgré ses succès dans toute la francophonie et son accomplissement personnel en tant qu’auteur-compositeur-interprète, il n’a pas oublié l’époque de son enfance. Une époque où la musique était déjà omniprésente et arrivait à faire oublier les vicissitudes de la vie quotidienne.
À travers son œuvre prolifique, il a magnifiquement chanté les petits travailleurs (Journée d’Amérique) et il se souvient avec émotion du sort de son père, employé d’une grande compagnie pétrolière (La raffinerie). Pour lui, il n’y pas de métier plus noble qu’un autre. Voilà pourquoi il est devenu notre guide pour pénétrer dans l’univers des travailleurs pauvres.
http://naufrages.radio-canada.ca/emissions_narrateur.aspx?id=4
http://naufrages.radio-canada.ca/emissions_episode.aspx?id=5
Il existe pire que la misère. Il y a les clichés qui l’entourent et qui assombrissent le quotidien des 1,7 million de prestataires d’aide sociale du Canada. Plusieurs considèrent ces derniers comme des paresseux qui profitent du système, en perpétuelles vacances, assis sur leur galerie en attendant leur chèque… Pierre déplore qu’on mette tous les bénéficiaires de l’aide sociale dans le même panier. L’expérience l’a amené à voir de ses propres yeux qu’au-delà des clichés, bien des gens n’ont que cet ultime recours et souhaitent véritablement s’en sortir.
Pierre et Emmanuelle reçoivent le montant de l’aide sociale, mais ils n’ont pas dû faire les démarches pour l’obtenir. Alors, pour le bénéfice de l’expérience, Pierre se soumet à cet exercice fastidieux en remplissant tous les documents. Il se rend vite compte que la vie d’un demandeur d’aide sociale est comme un livre ouvert au regard des agents de la Sécurité du revenu.
Dans ce tour d’horizon de l’aide de dernier recours, les mythes battent en retraite. En plongeant au cœur de la réalité, on découvre le véritable portrait d’une situation qui n’a absolument rien d’enviable. Issu d’un milieu modeste, Pierre Verville nous accompagne dans cet épisode avec une grande sincérité.
De son côté, Emmanuelle n’a plus le choix : elle doit se résoudre à cogner à la porte de la Société Saint-Vincent de Paul, où elle obtient un bon d’achat d’alimentation de 30 $. Quant à Pierre, il quitte ses colocataires pour emménager dans une maison de chambres. Mais, surtout, il est dans tous ses états. Comme tous les bénéficiaires d’aide sociale, il ne peut gagner plus de 200 $ supplémentaires par mois. La production a donc retenu sur son nouveau chèque l’excédent de ce qu’il a gagné au noir. « On joue la game, et le travail au noir, on peut pas passer à côté de ça! », tranche-t-il.
Il n’a pas tort. Dans la vraie vie, le travail au noir est invisible...
http://naufrages.radio-canada.ca/emissions_episode.aspx?id_emission=5&player=teaser
Pierre Verville est un imitateur et humoriste au regard aiguisé sur l’actualité. Ses caricatures sonores, aux émissions C’est bien meilleur le matin et À la semaine prochaine, à Radio-Canada, en sont un parfait exemple. Tout comme les voix qu’il prête aux personnages de l’émission satyrique de Serge Chapleau Et Dieu créa… Laflaque.
Mais on se souvient aussi de son interprétation bouleversante de Jean-Guy Lavigueur, dans la télésérie Les Lavigueur : la vraie histoire, pour laquelle il a d’ailleurs reçu le prix Gémeaux du meilleur premier rôle masculin dramatique en 2008. Pas étonnant quand on sait qu’il vient d’un milieu tout aussi modeste que celui du personnage qu’il incarnait. Alors, le micro lui revient de plein droit pour nous mener à travers les mythes qui entourent celles et ceux qu’on appelle… les BS.
http://naufrages.radio-canada.ca/emissions_narrateur.aspx?id=5
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http://transactions.rds.ca/?cid=2011-02-Transactions
Est-ce que le Club Hockey Canadien va aller chercher un joueur dans les échanges?
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Carambolage
Vingt-neuf personnes, dont 14 enfants d'âge préscolaire ont été transportées à l'hôpital Pierre-Le-Gardeur, à la suite d'un carambolage survenu sur l'autoroute 640 Ouest, dans le secteur de Mascouche. Heureusement, personne n'a été blessé gravement.
http://tvanouvelles.ca/lcn/montopo/photo/archives/2011/02/20110202-143133.html
Deux autobus de passagers ont été impliqués dans un accident vers midi sur l'autoroute 20, dans le secteur de Saint-Janvier-de-Joly, dans Lotbinière. Pierre-Alexandre a été témoin de l'accident, il nous a fait parvenir plusieurs photos à Mon Topo.
«Personne n'a été blessé, mais un des deux conducteurs qui était demeuré coincé dans l'habitacle de l'autobus, a eu besoin de l'intervention des pompiers», explique Ann Mathieu de la Sûreté du Québec.
http://tvanouvelles.ca/lcn/montopo/photo/archives/2011/02/20110202-155847.html
Dominic Lemieux, de Saint-Romuald, a pris cette photo à Charny, alors qu'il se trouvait sur l'autoroute 20 en direction de Québec.
http://tvanouvelles.ca/lcn/montopo/photo/archives/2011/02/20110202-105006.html
Ces photos du carambolage sur l'autoroute 20 en direction Est ont été envoyées par Stéphane Daigneault. L'accident s'est produit à la hauteur de l'autoroute 30.
http://tvanouvelles.ca/lcn/montopo/photo/archives/2011/02/20110202-111448.html
>>>>>> 10photos
Des policiers qui tentent de se rendre sur les lieux du carambolage avec un véhicule tout-terrain.
http://tvanouvelles.ca/lcn/montopo/photo/archives/2011/02/20110202-141619.html
La tempête a provoqué de la congestion sur les routes, ce matin.
Christiane T. a pris ces photos au départ de Longueuil, alors qu'elle se dirigeait vers le pont Jacques-Cartier.
http://tvanouvelles.ca/lcn/montopo/photo/archives/2011/02/20110202-093813.html
Marc Vachon est camionneur et il est actuellement au coeur de la tempête qui frappe le Midwest américain. Il nous a fait parvenir plusieurs photos à Mon Topo.
Au moment où nous lui avons parlé, il était dans une halte routière, en périphérie de Dallas, en attendant que la tempête se calme un peu. «Ici, personne n'a de pneus d'hiver et les autorités ne sont pas équipées pour déglacer les routes. Il n'y a pas d'abrasif pour les autoroutes, le seul sel qu'ils ont, ils le mettent dans des patates frites», explique à la blague le camionneur à tvanouvelles.ca. «Tout est paralysé actuellement, plusieurs écoles et commerces sont fermés, les gens préfèrent rester chez eux», ajoute Marc Vachon. En début d'après-midi, il faisait environ -3°C degrés.
http://tvanouvelles.ca/lcn/montopo/photo/archives/2011/02/20110201-141512.html
>>>>>> 3photos
Tempête hivernale
Mise à jour : 2 février 2011 à 18h22
Les conditions routières périlleuses sont à l'origine de multiples carambolages impliquant des dizaines de véhicules.
http://tvanouvelles.ca/video/774885294001/un-automobiliste-pris-dans-le-carambolage-fait-le-point/
Les conditions routières périlleuses sont à l'origine de multiples carambolages impliquant des dizaines de véhicules.
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