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24 novembre 2014 1 24 /11 /novembre /2014 01:54

 

Communion - Seigneur Jesus Tu es present 

http://www.youtube.com/watch?v=qnJtehMbeHo&list=PLqt5-X3kR0Jwl1zGtt25QNY_vsx-8UaUh
 
ml lop

 

Que Dieu soit béni, et qu'Il vous garde :)

 

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        Padre Pio - Celebrates the Eucharist
Padre Pio  la communion

 

 

 

                                               
                         Homélie dimanche 23 novembre 2014
 
 
Solennité du Christ, Roi de l'Univers
Commentaire du jour 
 Saint Jean XXIII (1881-1963), pape
Prière en l’honneur du Roi eucharistique (Bulletin quotidien de l’Ufficio Stampa Vaticana, 24/01/1959) 
« Tout sera achevé, quand le Christ remettra son pouvoir royal à Dieu le Père » (1Co 15,24) 
      Jésus, Roi des hommes et des siècles, accueille les hommages d'adoration et de louange que nous, tes frères d'adoption, nous t'adressons humblement. Tu es « le pain de Dieu qui donne la vie au monde » (Jn 6,33), à la fois grand prêtre et victime. Tu t'es immolé sur la croix pour la rédemption du genre humain, et aujourd'hui, par les mains de tes ministres, tu t'offres chaque jour sur les autels afin d'instaurer dans chaque cœur ton « Royaume de vie, de sainteté, de grâce, de justice, d'amour et de paix » (Préface de la fête).
       Que ton Règne arrive, ô Roi de Gloire ! (Ps 23) Du haut de ton « trône de grâce » (He 4,16), règne sur le cœur des enfants afin qu'ils conservent sans tache le lis immaculé de l'innocence ; règne sur le cœur des jeunes afin qu'ils grandissent sains et purs, dociles à ceux qui te représentent au sein de la famille, à l'école, à l'église. Règne sur le foyer domestique afin que parents et enfants vivent en harmonie dans l'observance de ta très sainte Loi. Règne sur notre patrie afin que tous les citoyens, dans l'ordre et la compréhension entre les classes sociales, se sentent les fils du même Père céleste, appelés à coopérer au bien temporel de tous, heureux d'appartenir à l'unique corps mystique dont ton sacrement est à la fois le symbole et la source intarissable !
       Règne enfin, ô « Roi des rois, Dieu des dieux, Seigneur des seigneurs » (Ap 19,16; Dt 10,17), sur toutes les nations de la terre et éclaire les responsables de chacune afin que, s'inspirant de ton exemple, ils nourrissent « des pensées de paix et non d'affliction » (Jr 29,11). Fais que tous les peuples, Jésus eucharistique, te servent en toute liberté, conscients de ce que « servir Dieu, c'est régner ». 
  
 
©Evangelizo.org 2001-2014 
            

 

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Homélie
Messe

dimanche 23 novembre 2014
Famille de Saint Joseph

http://homelies.fr/messe,christ-roi,4960.html

http://homelies.fr/homelie,christ-roi,4025.html


Détail de la messe : 33e dimanche du Temps Ordinaire


Homélie du Père Joseph-Marie :

Au commencement de l’année liturgique, nous étions invités à abaisser notre regard vers un Enfant déposé dans une mangeoire ; au terme du cycle, nous levons les yeux vers celui qui vient avec puissance, le Roi de gloire, le Seigneur des Seigneur, le Juge des vivants et des morts. L’Ange l’avait annoncé à Marie : « Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il règnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n’aura pas de fin » (Lc 1, 32-33). En parcourant les Evangiles tout au long de l’année, il nous a cependant fallu nous rendre à l’évidence : Jésus n’entend pas cette royauté à la manière dont nous la concevons : « Vous le savez : les chefs des nations païennes commandent en maîtres, et les grands font sentir leur pouvoir. Parmi vous, il ne doit pas en être ainsi : celui qui veut devenir grand sera votre serviteur ; et celui qui veut être le premier sera votre esclave. Ainsi le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir et donner sa vie en rançon pour la multitude » (Mt 20, 25-28).
Les lectures de la liturgie de ce jour nous précisent encore les modalités de cette royauté hors de l’ordinaire. Qui donc est ce roi qui va lui-même rechercher la brebis égarée, qui rassemble le troupeau dispersé, qui veille personnellement sur lui, le protège et le délivre ; qui s’occupe de chacune de ses brebis selon son besoin particulier ? (1ère lect.) L’image du roi-pasteur est empreinte d’une sollicitude et d’une tendresse qui tranche avec le mépris hautain affiché par ceux qui habitent des palais somptueux. Voilà un roi proche de son peuple, qui s’implique en sa faveur ; dont il prend lui-même soin, « le menant vers les eaux tranquilles et le faisant reposer sur des près d’herbe fraîche » (Ps 22). Lorsque le loup survient, il ne prend pas la fuite, mais donne sa vie pour ses brebis (cf. Jn 10, 15) : le roi-pasteur devient l’Agneau immolé pour que le troupeau ait la vie, et qu’il l’ait en abondance (cf. Jn 10, 10). Car l’amour ne peut mourir, et c’est en aimant jusqu’au bout (cf. Jn 13, 1), que Jésus manifeste sa royauté suprême, celle qui triomphe de la haine et de la mort (cf. Ep 2, 16).
C’est à la lumière de la tendresse attentive du pasteur qu’il faut entendre l’exaltation de la royauté guerrière de celui qui triomphe de la mort après avoir détruit toutes les puissances. L’humilité du Roi vainqueur n’est d’ailleurs pas démentie, puisque sa victoire n’est pas au profit de son exaltation personnelle : nous lisons en effet que lorsque « tout sera achevé, il remettra son pouvoir royal à Dieu le Père », afin que « Dieu soit tout en tous ». Lorsque Jésus exerce le ministère de Juge universel, il parle encore au nom de son Père qui à travers lui prononce la sentence. Mais quel n’est pas notre étonnement de n’entendre parmi les critères de discernement pour l’entrée dans le Royaume, aucune allusion à une confession de foi. C’est pourtant bien le même Jésus qui disait à ses disciples : « Quiconque se déclarera pour moi devant les hommes, je me déclarerai moi aussi pour lui devant mon Père qui est aux cieux » ; et il ajoutait en contrepoint la proposition symétrique - tout comme dans l’Evangile de ce jour : « mais quiconque me reniera devant les hommes, je le renierai moi aussi devant mon Père qui est aux cieux » (Mt 10, 32-33).
Il ne s’agit pas d’opposer ces deux passages, ni de privilégier exclusivement l’un par rapport à l’autre : ils sont bien plutôt complémentaires. Jésus ne peut pas demander aux hommes qui n’ont pas eu la chance d’entendre l’annonce de la Bonne Nouvelle, de proclamer sa Seigneurie ; ceux-là ce sont leurs œuvres de miséricorde en faveur des plus petits qui témoigneront pour eux et leur serviront de confession de foi. Quant aux croyants qui se déclarent pour le Christ devant les hommes, « il ne leur suffit pas de dire “Seigneur, Seigneur !” pour entrer dans le Royaume des cieux : il faut aussi qu’il fasse la volonté du Père qui est aux cieux » (Mt 7, 21).
Au bout du compte, ce sont donc bien les œuvres de charité qui sont déterminantes, tant il est vrai que « celui qui n’agit pas, sa foi est bel et bien morte » (Jc 2, 17). Or ce qui frappe de prime abord, c’est le caractère « ordinaire » des actions rapportées : nourrir un affamé, vêtir un démuni, accueillir un étranger, visiter un malade ou un prisonnier, rien de tout cela n’est hors de notre portée. Ce qui situe bien cet Evangile dans le prolongement de ceux que nous avons médités ces dernières semaines. Avec la parabole des vierges sages et des vierges folles, Jésus soulignait l’importance de la vigilance au jour le jour dans l’attente de la venue de l’Epoux ; la semaine passée nous étions invités à mettre en œuvre nos talents au quotidien ; aujourd’hui Notre-Seigneur nous rappelle l’exigence d’incarner notre foi dans un comportement fraternel cohérent, marqué par la gratuité. Si le service des démunis attire la bienveillance divine, c’est précisément parce qu’il est gratuit : ceux qui en bénéficient auraient en effet bien du mal à nous l’offrir en retour. C’est en cela qu’il entre dans la logique du Royaume, qui est celle de l’amour (nécessairement) gratuit. L’accès au Royaume n’est pas une récompense pour bons et loyaux services ; la pleine communion avec Dieu sera l’accomplissement de ce qui est déjà commencé dans le cœur de ceux qui ont écouté la voix de leur conscience et sont entrés en solidarité concrète avec leurs frères dans le besoin. Oui heureux sont-ils, car les œuvres qu’ils accomplissent ainsi dans l’Esprit de charité, purifient leurs cœurs et leur permettront au jour du jugement de voir Dieu ; et de le voir précisément sous les traits de ceux en faveur desquels ils se sont mis en peine.
« Tout ce que vous avez fait - ou omis de faire - à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait ». L’identification entre le Christ et chacun de « ces petits » qu’il appelle « ses frères » est inouïe. Le Fils de Dieu s’est tellement uni à notre humanité, qu’il est personnellement concerné par le sort de chacun d’entre nous. Nous pourrions intituler cette péricope : le dévoilement du Roi caché. Nous avions souligné que si les bons serviteurs de la parabole de la semaine passée poursuivent généreusement leur travail, c’est tout simplement parce que leur Maître n’a pas quitté la demeure de leur cœur. Cette semaine nous apprenons que non seulement les bons serviteurs que nous devrions être, demeurent en communion d’amour avec leur Seigneur, dans l’Esprit, mais qu’ils peuvent même continuer à le servir physiquement dans chacun de leurs frères, particulièrement les plus démunis.

« Seigneur, je remarque que tous les hommes, les bons comme les mauvais, seront surpris par le jugement. Il ne sert donc à rien d’essayer de nous imaginer ce qu’il en sera : il vaut mieux mettre en œuvre ce qui ressort de la parabole. En commençant par mesurer l’enjeu de notre vie quotidienne : il ne nous sera pas donné d’autre temps ni d’autre lieu pour décider de notre sort éternel. C’est ici et maintenant, Seigneur, que tu te présentes à nous sous les traits des frères et sœurs démunis avec lesquels nous cheminons sans les voir. C’est aujourd’hui que nous décidons de notre éternité, car tu ne demeures qu’en ceux qui aiment, c'est-à-dire ceux qui ne ferment pas leur cœur aux appels de détresse, mais acceptent de perdre joyeusement leur vie au profit de ceux qui la réclament. »

Père Joseph-Marie       
     
   
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D'AUTRES INFOS
SUR LA JOURNÉE D'AUJOURD'HUI...     
ANGELUS
         
Angelus du 23 novembre 2014
Diffusé le 23/11/2014 / Durée 20 mn
http://www.ktotv.com/videos-chretiennes/emissions/nouveautes/angelus-angelus-du-23-novembre-2014/00088903


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Une initiative de l'Association Marie de Nazareth 
22 novembre – Vietnam : ND de Lavang (1798) – Syrie : Notre-Dame de Soufanieh (1982) – Equateur : Vierge de Quince
Un soir de 1798, ils ont une apparition de la Vierge Marie
La Basilique Notre-Dame de La Vang est située au centre du Viêt Nam, dans le village de La Vang, dans le district de Hai Lang. Détruite pendant la guerre du Vietnam par les bombardements américains en 1972, il n'en reste aujourd'hui que le clocher et le mur auquel il s'adosse. « La » signifie feuille et « Vang », graine d'herbe.

Dans l'ancien Annam, l'empereur Can Trinh interdit le 17 août 1798 la religion catholique importée par les Espagnols et les Français depuis plus d'un siècle, inaugurant ainsi une période de répression et ordonnant la destruction des églises. Des paysans catholiques se réfugient dans la forêt, à La Vang. Ils s’y réunissent pour prier le rosaire au pied d'un arbre tous les soirs.

Un soir de 1798, ils ont une apparition de la Vierge Marie tenant l'Enfant-Jésus. La Vierge leur conseille de se mettre désormais sous sa protection.

Les paysans regagnent leurs villages en 1802, lorsque la persécution s'apaise et la nouvelle de l'apparition se répand dans l'Annam, marquant le début d'un pèlerinage. Une dizaine d'années plus tard, plusieurs vagues de répression s'abattent sur toutes les provinces, jusqu'en 1885. Trente martyrs annamites sont brûlés vifs à La Vang.
Une initiative de l'Association Marie de Nazareth 
19 novembre - Eglise Ethiopienne : Fête de Marie Seyom - Notre-Dame de Bonne Nouvelle 
Tournant les yeux, il vit une femme d’une majesté surhumaine
Une nuit que saint Grégoire le Thaumaturge méditait sur la doctrine de la foi, lui apparut un vieillard. Effrayé, il se leva et demanda : « Qui êtes-vous et que voulez-vous ? » L’inconnu lui dit qu’il venait de la part de Dieu éclairer ses doutes et lui découvrir la vérité de la foi.

Rassuré, Grégoire était partagé entre joie et frayeur. L’apparition tendit la main, comme pour lui montrer la direction opposée. Tournant les yeux, Grégoire vit une femme d’une majesté surhumaine. Ne pouvant en supporter l’éclat, il baissa les yeux. Il entendit alors les deux personnages dialoguer sur le point qui le préoccupait.

Ainsi, non seulement il acquit la vraie science de la foi, mais encore sut nommer les deux personnages qui l’interpellaient : en effet Grégoire entendit la Femme qui exhortait l’évangéliste Jean à lui découvrir le mystère de la piété, et Jean répondit qu’il était prêt à le faire, puisque tel était le bon plaisir de la Mère de Dieu.

Puis la Vierge Marie et saint Jean disparurent. Grégoire s’empressa alors de mettre par écrit l’enseignement venu du Ciel. Ce témoignage est le plus ancien qui ait été consigné et remonte au III è siècle.
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Feu et Lumière
Saveur du dimanche
Méditation de l’Évangile :
«Qui peut dire, je suis toujours allé visiter les malades, j’ai habillé tous ceux qui en avaient besoin, j’ai visité tous ceux qui sont emprisonnés, j’ai toujours donné à manger et à boire à ceux qui en avaient besoin ? […] Ce passage d’Evangile est une image pour dire ce qui est enjeu dans la vie bien concrète des visiteurs de prison, des visiteurs de malades, et de tous les acteurs de la solidarité. Que nous dit l’Evangile ? « A chaque fois que vous avez fait cela aux plus petits, c’est à moi que vous l’avez fait. » Loin d’être une question de quantité, cet Evangile met le doigt sur l’espérance chrétienne qui traverse toute l’humanité dans ce qu’elle de passionnant et de douloureux. […]
Aujourd’hui, dans notre prière, ce sont tous ceux que nous sommes allés visités qui sont présents, et ceux que nous n’avons pas pu aller voir aussi. Nous ne pourrons jamais être irréprochables ; par contre, ce dont nous avons la responsabilité, c’est de présenter au Seigneur tous les petits dans la prière, car c’est en eux que se manifeste la force de Dieu. Que nous soyons brebis ou chèvres, au fond, c’est à chacun de se le dire en vérité, mais ce qui importe, c’est que nous présentions et que nous priions pour tous les petits de notre entourage dont le Christ est le sauveur. C’est là la conversion que nous avons à vivre. Nous nous fatiguons trop souvent à vouloir sauver les autres. De sauveur, il n’y en a qu’un, c’est le Christ et il nous sauve du désespoir en habitant la vie de tous les petits du monde. Que la présence de Dieu à l’œuvre nous aide à changer notre regard sur la vie et sur le monde. »
 
Extraits d’une homélie du père Vincent Grillet, prêtre coopérateur de la paroisse saint Benoit des Nations, Genève, Suisse.
 
Prière :
« Les jours, les nuits où j'aime Dieu, mon prochain, en toutes circonstances,
je me dégage d'un agir malsain, arrête de m'en punir ;
Jésus-Christ est là, j'accorde à un blessé mon assistance,
et à toi mon frère méprisé, mon estime, ton devenir. »
 
Franck Widro, Pèlerinage intérieur, éd. Téqui.
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Fête du Christ-Roi « un feu sur la terre »

2. Le Christ, roi de l’univers / Pierre Desroches (189e) – 23 novembre 2014

 

http://www.youtube.com/watch?v=m338zPnu2VQ

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Idée de coeur – 8e édition du Sapin du petit bonheur

Sapin du Petit Bonheur 2013 avec jeunes benevoles Photo courtoisieDès le 21 novembre, le Sapin du Petit Bonheur sera de retour pour célébrer sa 8e édition sur la promenade du Centre commercial de Valleyfield! À nouveau cette année les organisateurs comptent sur la générosité de la population du Suroît et de la Vallée-du-Haut-Saint-Laurent afin que des enfants issus de familles défavorisées et fréquentant des écoles des Commissions scolaires Vallée-des-Tisserands, des Trois-Lacs et New Frontiers reçoivent des cadeaux à Noël. 

Cette brillante aventure connait un grand succès chaque année grâce aux efforts de nombreux lutins et à l’appui des entreprises de la région qui hébergent dans leur commerce ou lieu de travail un mini Sapin du Petit Bonheur.

Sapin du petit bonheur avec enfants affiche 2013 Courtoisie-Sapin-du-Petit-BonheurLe roman pour enfants « L’arbre de joie » d’Alain Bergeron sert d’inspiration et de motivation à cette aventure. Ainsi au Centre commercial de Valleyfield, le Sapin du Petit Bonheur orné de lumières éteintes et de cartons décoratifs présentant l’âge et le sexe d’un enfant, s’illuminera chaque fois qu’un visiteur offrira un cadeau (d’une valeur approximative de 20 $) pour un des jeunes issus de familles défavorisées de notre région.

Pour cette huitième année, l’équipe du Sapin du Petit Bonheur espère la remise d’un cadeau à plus de 610 enfants répartis dans 41 écoles différentes du territoire. Pour atteindre leur objectif, les organisateurs peuvent compter sur l’appui financier des Caisses Desjardins, ainsi que l’engagement de la CEZinc, de Grâce Canada et de quelques autres entreprises. Ce n’est pas tout, depuis maintenant deux ans, une vingtaine de commerces partenaires hébergent des mini-sapins dans leur lieu de travail. Ceux-ci permettent également d’offrir un cadeau à un enfant défavorisé, pour le compte du Sapin du Petit Bonheur.

Pour connaître la liste de ces commerçants, des partenaires de l’aventure, des nouveautés 2014 et même pour en savoir plus sur l’avancement de la collecte, vous pouvez visiter la page Facebook Sapin du Petit Bonheur.

Le Sapin du Petit Bonheur au Centre commercial!

Sapin du Petit Bonheur 2013 avec 3 eleves benevoles Photo courtoisieL’arbre de joie prendra place sur la promenade du Centre commercial Valleyfield du 21 novembre au 14 décembre prochain. Des élèves bénévoles de l’école secondaire de la Baie-Saint-François, responsables du projet, accueilleront les généreux donateurs près du Sapin les vendredis, de 18 h 30 à 20 h 45, ainsi que les samedis et les dimanches, de 11 h 30 à 17 h.

Jour après jour, le sapin prendra toute sa splendeur et brillera tout comme les yeux des enfants à qui la communauté aura permis un Noël plus enchanteur et imprégné de chaleur!

Afin d’aider les initiateurs du projet à atteindre leur objectif de 610 cadeaux, plusieurs commerçants de Salaberry-de-Valleyfield et Vaudreuil-Dorion ont également décidé d’accorder un rabais sur chaque achat visant un don au Sapin du Petit Bonheur. Les donateurs pourront ainsi profiter d’une réduction de 15 % sur les achats qu’ils auront réalisés à la Librairie Coopsco du Collège de Valleyfield, à la Boutique du Jouet, aux Librairies Boyer, ainsi qu’à La Ribouldingue.

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Nouvel article sur J'ai vu pousser un arbre 
 
Béatitudes pour notre temps.
by Annette Bédard 
 
Heureux ceux qui ont les mains vides, elles leur seront remplies.
Heureux es-tu de donner quelque chose de toi, tu seras comblé de joie.
Heureux toi l'ignorant, tu recevras la lumière d'En-Haut.
 
Heureux  toi qui cherches, tu trouveras un trésor inépuisable.
Ton coeur est-il durci tu te surprendras à pleurer, pleurer.
Heureux , toi qui t'ennuies, seul dans ta mansarde tu seras visité.
Heureux , vous les affligés, vous rirez, vous éclaterez de rire.
Heureux, toi qui vis la simplicité d'un enfant, tes jours seront ensoleillés.
Heureux ceux qui ont perdu leur chemin ils trouveront celui de leur coeur.
 
Heureux les pauvres, les humiliés, les honteux, le royaume des cieux est à eux.
Malheureux êtes-vous les repus de tout, il n'y a pas de chemin pour entrer chez vous.
Annette Bédard
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